Les contribuables voulant se constituer un patrimoine immobilier et jouir de nombreux avantages fiscaux, doivent se tourner vers des dispositifs de défiscalisation immobilière. La loi pinel et le statut LMNP, figurent parmi ces dispositifs. Une simulation loi pinel permet de comprendre les mécanismes de ce dispositif et de saisir ses principaux atouts.
L’investisseur est ici tenu d’acquérir un bien immobilier à l’état neuf pour l’exploiter en le mettant en location. il lui est alors possible de choisir un bien locatif non meublé pour investir dans le loi Pinel ou choisir un bien meublé pour bénéficier du statut de loueur en meublé non professionnel dit aussi LMNP.
Le point sur ces deux dispositifs.
La loi Pinel exige pour s’appliquer, l’acquisition d’un bien immobilier neuf que l’investisseur devra ensuite, mettre en location durant 6, 9 ou 12 ans. Cet acquéreur pourra alors bénéficier d’une certaine réduction de son impôt sur ses revenus. Cette réduction est proportionnelle à la durée de mise en location qu’il a choisie ; plus la durée de location est élevée, plus la réduction d’impôts est importante. Ce propriétaire loueur pourra ainsi, se constituer un pécule assez important en économisant sur les loyers qu’il perçoit. Toutefois, ce dispositif est soumis au plafonnement annuel de la niche fiscale qui est de 10 000 euros. L’investisseur pourra investir dans 2 logements dans la limite des 300 000 euros et pourra louer à un proche majeur ne dépendant pas financièrement de lui.
L’investissement immobilier en statut LMNP permet de recouvrer la TVA en faisant jouer le fait que le coût de l’habitation acquise, est vu comme un coût hors taxe. Quant aux avantages fiscaux que ce statut offre, ils ne sont accessibles que si les loyers sont partiellement ou totalement accaparés pour les frais relatifs à la réalisation de cet investissement immobilier. Ce fit s’applique lorsque l’investisseur en statut LMNP opte pour le régime réel et non celui du micro BIC. Cependant, il ce genre d’investissement n’est soumis à aucun plafonnement des niches fiscales comme des loyers demandés et des ressources dont disposent les locataires.